Le Casi-Uo œuvre à la création d’une culture populaire et migrante depuis toujours.
Voici les productions vidéos, fruits des activités et des projets menés avec différentes groupes fréquentant le Casi-Uo.
Da sempre, il Casi-Uo si impegna per la creazione di una cultura popolare e emigrante.
Ecco le nostre produzioni multimediali, frutto di attività e progetti creati insieme ai differenti gruppi e associazioni in contatto con il Casi.
Après la création du livre « 1910-2023. Le travail : Mode d’emploi », le groupe des seniors du Casi-Uo a sélectionné 10 personnages parmi la quarantaine présents dans le livre, tous.tes habitants de l’immeuble imaginaire du 13 de la Grande Rue.
Les aîné.es, avec les acteurs et actrices du groupe de théâtre du Casi-Uo, ont donné vie à ces 10 personnages, racontant leur histoire et leur expérience de travail, de résistance et de changement.
En langue française,
sous-titré en français
En langue française
sous-titré en italien
Max l’épicier des années 20 raconte la difficulté de l’invasion et les dangers liés à l’aide alimentaire.
Marguerite, concierge des années 20, lutte pour une vie difficile, ayant du mal à trouver de quoi se nourrir.
Antoinette, couturière dans les années 30, lors une époque de grands changements économiques et de la mode féminine.
Faustine, épouse d’un riche notaire ayant vécu les deux guerres.
Victor, artiste et homme à tout faire, raconte les difficultés de travail dans les années 40.
Riccardo, neveu de Faustine, avocat,
aide la cause ouvrière dans les années 50 et 60.
Lifterio, musicien grec arrivé dans les années 60.
Hector, syndicaliste et ouvrier dans les années 70.
Naïma, d’origine marocaine, s’installe en Belgique dans les années 90 avec son mari et ses enfants.
Nour, également d’origine marocaine, trouve sa voie dans l’enseignement et le monde associatif.
De janvier à juin 2024, le groupe d’adolescents de l’école de devoirs du Casi-Uo a participé à des ateliers vidéo organisés en partenariat avec l’asbl 2Bouts. Ces ateliers avaient pour objectif de favoriser l’expression, la discussion et la réflexion autour des discriminations. Les jeunes y ont exploré différentes formes de discriminations et ont collaboré à la réalisation d’un micro-trottoir, une production vidéo originale. Ce projet visait à les sensibiliser aux enjeux sociaux tout en leur offrant un espace créatif pour exprimer leurs idées et partager leurs expériences.
Stage d’automne pour les adolescents de l’école secondaire (23.10.23 – 27.10.23) durant lequel nous avons exploré en partenariat avec l’asbl ZinTV le monde fascinant de l’audiovisuel. Les adolescents ont eu l’occasion d’apprendre tout ce qu’il faut pour réaliser une émission audiovisuelle et pour en découvrir les coulisses. Sujet de l’émission: l’alimentation, plus précisément, le concept des supermarchés coopératifs. Un sujet d’actualité qui mérite d’être exploré en profondeur et pour lequel ils ont eu la chance de visiter le supermarché coopératif Wandercoop d’Anderlecht.
• Nous avons participé à un atelier d’écriture dans le but de transmettre, partager nos expériences d’enfants d’émigrés.
• Que dire de notre enfance ? De notre vie d’adulte ?
• Comment s’est modifié ce que nous avons reçu de nos parents, de leurs traditions confrontées à la culture du pays acquis ?
• Nous aimons la Belgique !
• C’est notre patrie, l’autre c’est notre mémoire.
• Nous sommes solidaires entre nous et en même temps avec l’autre.
• Dans cet atelier d’écriture, nous avons lu et découverts des textes d’auteurs d’ici et d’ailleurs.
• Et ainsi, nous avons, nous aussi écrit ce qui témoigne de notre voyage – intime.
• Qui suis-je, moi ? Mais toi, tu es qui ?
• Et c’est pour ça que nous sommes ici avec vous ce soir.
• Nous allons ouvrir nos cahiers !
• Notre mémoire
• Ces histoires sont comme une promenade sur la trace des enfants que nous étions. Et que vous étiez aussi.
• Ce que vous allez entendre est la source de nos rêves, nos espoirs, notre désir d’être au monde
« Nos ancêtres n’étaient pas gaulois » est un projet vidéo sur la troisième génération de l’immigration italienne. Le projet a le but de creuser la question de la troisième génération et parallèlement des identités multiples et des origines.
« Nos ancêtres n’étaient pas gaulois » se présente sous forme de six capsules vidéo chacune étant une interview à un bruxellois de troisième génération.
Les interviews tentent d’entrelacer l’histoire de ceux qui ont quitté l’Italie pour venir en Belgique durant les années ’50 et ’60, avec celle des générations qui ont suivi et de ceux qui traversent les frontières aujourd’hui pour arriver en Europe.
« Nos ancêtres n’étaient pas gaulois » est un outil qui permet de creuser différentes questions : l’histoire de l’immigration, l’identité, le racisme, mais aussi de tisser des liens entre des personnes de troisième génération issus de différentes communautés.
Croire et rêver, ce n’est pas toujours évident… Non loin d’ici, des apprenti(e)s architectes tentent de construire leur cité idéale: mais pourquoi l’église est-elle au milieu du quartier ?
Un film réalisé par le Centre Vidéo de Bruxelles
avec les jeunes avec le Casi-UO asbl.
Le Casi-uo (Centre d’ action social italien-université ouvrière) œuvre depuis le début des années ’70 à l’émancipation des communautés d’immigrés italiens à Bruxelles. Aujourd’hui, trois générations s’ y côtoient à travers les activités proposées par l’ association. Ce film donne la parole à quelques-unes de ces « aînées ». Elles ont entre 65 et 82 ans. Migrantes d’hier, elles nous racontent des bouts de leurs vies.
Entre la Belgique qui les accueille et l’Italie qu’elles n’oublient pas, elles témoignent avec bonhomie d’un mixage culturel.
Réalisation, Image et son : Andrea Gagliardi
Co-production : Aria Pagana
